Le vide juridique résulterait de la disparition malencontreuse d’un alinéa relatif à cette lisibilité dans l’arrêté royal à la base de l’instauration des nouvelles plaques.

Interpellé récemment par le député Anthony Dufrane, le secrétaire d’État à la mobilité Étienne Schouppe a entamé une procédure d’urgence pour faire amender l’arrêté royal en cause. Le texte modifié ne devrait pas être publié avant le 15 juillet.

Source: http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20110618_00014464